Finkielkraut et la postérité
dans l’hebdo N° 1201 Acheter ce numéro
Le philosophe médiatique Alain Finkielkraut ne veut pas dire pour qui il s’apprête à voter. La France entière attend pourtant de connaître son opinion. Je ne suis pas sûr, dit-il, que « mes impressions méritent de passer à la postérité ».
Dommage que cet accès soudain d’humilité, qui certes l’honore, ne se soit pas emparé de lui un peu plus tôt. En 2007, par exemple, quand il avait nettement laissé paraître son choix en faveur de Nicolas Sarkozy. Finkielkraut serait-il un déçu du sarkozysme ?
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