Dopage pour tous

Trois nouveaux cas de dopage très encombrants pour l’équipe Astana de Vincenzo Nibali, vainqueur de la dernière édition.
Politis  • 30 octobre 2014
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Tandis que les organisateurs du Tour de France viennent à peine de dévoiler le parcours de la prochaine Grande Boucle, voilà trois nouveaux cas de dopage très encombrants pour l’équipe Astana de Vincenzo Nibali, vainqueur de la dernière édition. En l’espace de deux mois, les frères Maxim et Valentin Iglinskiy ont été déclarés positifs à l’EPO et Ilya Davidenok contrôlé positif aux stéroïdes anabolisants. L’Union cycliste internationale (UCI) a ouvert une enquête sur « l’encadrement et la politique antidopage de l’équipe Astana ». Une réponse a minima pour les instances qui ont le pouvoir d’exclure l’équipe kazakhe du World Tour, l’élite du vélo, et donc du Tour de France. D’autant qu’Astana possède un lourd passif : elle est managée par Alexandre Vinokourov, plusieurs fois convaincu de dopage avant de compter dans ses rangs Contador et Armstrong, vainqueurs déchus du Tour.

Les échos
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