Clivage : Migrants, querelles de chiffres
Deux lignes s’opposent. Celle de Manuel Valls, et celles de Vincent Peillon et de Benoît Hamon, plutôt critiques sur l’action du gouvernement et de l’Europe.
dans l’hebdo N° 1437 Acheter ce numéro

Si, avant le début de la campagne des primaires, les voix se faisaient plutôt silencieuses dans le camp socialiste au sujet des migrants, l’échéance électorale devient l’occasion pour les candidats de marquer leurs divergences. Le deuxième débat télévisé de dimanche après-midi en a donné la preuve.
Deux lignes s’opposent. Celle de Manuel Valls, pour qui « l’Europe, ce sont des frontières ». Et celles de Vincent Peillon et de Benoît Hamon, plutôt critiques sur la frilosité du gouvernement et de l’Europe en la matière. L’ex-Premier ministre a, sans surprise, défendu sa politique, amalgamant un peu vite « la France » et son gouvernement : « Je pense que la France a eu raison de mener cette politique d’accueil des réfugiés », a-t-il
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