« Chimère » : Nom d’un chien-homme !

Dans _Chimère_, l’un des rares romans comiques de la rentrée, Emmanuelle Pireyre lie manipulations génétiques et démocratie participative.

Christophe Kantcheff  • 27 août 2019 abonné·es
« Chimère » : Nom d’un chien-homme !
© crédit photo : patrice normand

Jacques Testart est un des personnages du nouveau roman d’Emmanuelle Pireyre, Chimère. Il y apparaît fugacement, sans être anodin pour autant. Chargée d’écrire un article sur les OGM, la narratrice – qui répond au nom d’Emmanuelle et est écrivain – est venue solliciter l’autorité du savant engagé. Mais celui-ci préfère lui parler de « science citoyenne ». Or cette « science citoyenne » est l’un des deux grands axes de l’intrigue.

En effet, Wendy, « une Manouche qui voulait aider les gadjé, les rendre heureux, leur faciliter la vie » – et qui est, elle, un des personnages centraux du roman –, reçoit un jour un coup de téléphone de l’Union

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Littérature
Temps de lecture : 4 minutes