Il ne faut pas que la fiction dépasse trop la réalité

L’auteur imagine un virus mortel et un Grand Président qui règne par le mensonge.

Sébastien Fontenelle  • 4 novembre 2020 abonné·es
Il ne faut pas que la fiction dépasse trop la réalité
© JOEL SAGET / AFP

Je suis plutôt amateur de science-fiction dystopique – de ces bouquins, tu sais, qui racontent, comme autant de cris d’alarme, des mondes imaginaires cauchemardesques, ployés le plus souvent sous le joug de l’autoritarisme : je trouve que leur lecture a du moins le mérite de nous divertir du si doux lissé de l’époque. Mais il arrive parfois que certain·es auteurs et autrices forcent trop sur l’horreur de ces univers inventés et que leurs tristes récits inspirent une telle épouvante qu’ils en

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Publié dans
De bonne humeur

Sébastien Fontenelle est un garçon plein d’entrain, adepte de la nuance et du compromis. Enfin ça, c’est les jours pairs.

Temps de lecture : 3 minutes