« Les Étoiles » de Simon Falguières : de chair et de papier
Le metteur en scène continue de déployer son vaste univers à la croisée du conte, du réel et de l’épopée. Autour d’un poète en quête de ses mots, ce théâtre fait merveille.
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Le monde de Simon Falguières est à géométrie variable. Avant de présenter au dernier Festival d’Avignon un Nid de cendres de douze heures, il en jouait à Paris au Théâtre de la Tempête une version de six heures. Il en a aussi récemment créé une mouture très courte, d’une heure à peine, que ses douze comédiens interprètent partout, façon théâtre de tréteaux.
Les Étoiles, avec lequel il retrouve la Tempête, a tout pour connaître le même sort. D’abord, il présente une structure similaire. Deux univers s’y côtoient, peuplés de très nombreux personnages dont les vies se déroulent tantôt en parallèle, tantôt dans une porosité que seule permet
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