Le foncier comme tragédie des communs
Il faut sanctuariser tous les espaces non bâtis, voire déconstruire la ville.
Il faut sanctuariser tous les espaces non bâtis, voire déconstruire la ville.
Encore et toujours les mêmes antiennes : « Cela découragerait les jeunes d’accepter un emploi, voire d’étudier ! »
Les dettes sont en majorité le résultat d’une baisse colossale des impôts des riches.
Un projet incompatible avec les objectifs sociaux et écologiques de la transition.
Le débat sur l’annulation de la dette publique détenue par la BCE est salutaire.
La pauvreté n’a pas réduit la volonté de changements des 18-30 ans.
L’écologie est aussi une science, et aucunement un retour en arrière.
La crise sanitaire a révélé notre dépendance économique aux services « non essentiels ».
L’OMS a affirmé que le vaccin devrait être un « bien public mondial ».
Une réaction salutaire se dessine face aux excès de ces mastodontes.
Les banques ont des centaines de milliards d’euros d’actifs dont la valeur est en chute libre.
La carte hospitalière a été redessinée en application de la logique de métropolisation.
Les pauvres sont pauvres car ils sont paresseux et irresponsables, contrairement aux entreprises.