Il faut sauver le soldat Morelle

Ivan Levaï s’en est fait l’avocat dans sa revue de presse sur France Inter.
Politis  • 24 avril 2014
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Un conflit d’intérêts, des pompes de luxe cirées dans les salons présidentiels… Aquilino Morelle n’est pas facile à défendre. Ivan Levaï s’en est pourtant fait l’avocat dans sa revue de presse sur France Inter (19 avril), en s’appuyant sur la mémoire de Dominique Baudis, « blessé et meurtri », victime « de la pire des calomnies », et sur celle de Pierre Bérégovoy, suicidé, lui aussi meurtri par la « curée médiatique ». Et Ivan Levaï de citer abondamment Valeurs actuelles et Jean Daniel, goûtant très peu le journalisme d’investigation, vu comme un boulot de « détective délateur ». Déplorant « les aspects désagréables des révélations de Mediapart », Levaï s’est ainsi déployé dans l’amalgame, pour mieux défendre l’indéfendable.

Les échos
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