Alors que les APL ont diminué de 5 euros, la précarité étudiante augmente. Premier budget impacté : celui des repas. Face à cela, au-delà de la débrouille, des associations tentent de mettre en place des solutions collectives, comme les épiceries solidaires.
T out n'est pas noir non plus », « Je ne me plains pas, il y a pire »… Les étudiants ont tendance à minimiser leur précarité. Un peu par honte, surtout parce qu'ils se sentent préservés de la « vraie » misère. Pourtant, un rapport édité par l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) constatait, en 2015, que 19,1 % des étudiants vivaient en dessous du seuil de pauvreté, soit avec 987 euros par mois (60 % du revenu médian). Plus d'un tiers, 36 %, touchaient des aides directes, mentionne ce même…
Terre de la mafia, l’île regroupe quasiment 40 % des biens confisqués à la criminalité organisée. Des ressources qui tardent à être restituées à la collectivité malgré un potentiel avéré.