Cannes : Amours au féminin
Premier volet de notre traditionnel journal du festival. Parmi les perles de ce début de festival, trois films très différents mais à hauteur de femmes, entre amour total, interdit, en construction.
Le courant majeur du marxisme hétérodoxe italien conserve une grande qualité d’analyse. Un ouvrage interroge son « legs ».
Le réalisateur catalan a présenté une œuvre bouleversante d'originalité portée par un immense Benoît Magimel.
Un premier long métrage qui offre une image critique de la société ukrainienne au temps de la guerre du Donbass.
Ce mercredi, des centaines de militants climat déterminés ont empêché les actionnaires d’assister à l’AG de la compagnie pétrolière. Une « action coup de poing » pour dénoncer l’irresponsabilité du groupe.
Triangle of Sadness, de Robin Ostlund, qui remporte la récompense suprême, n'est en rien un film dérangeant.
La cinéaste états-unienne offre une vision désacralisée de l'activité d'une artiste.
Le procès de militants écologistes de Loire-Atlantique mobilisés pour la défense du Carnet témoigne d’une répression accrue contre celles et ceux qui s’engagent pour le bien commun.
Loin d’être le chef-d’œuvre annoncé par Gallimard, Guerre, roman inédit de Louis-Ferdinand Céline, en dit plus sur la fabrique romanesque de l’écrivain. À prendre pour ce qu’il est : un premier jet.
L’autobiographie d’Elaine Brown retrace le parcours d’une militante des Black Panthers. Tout en engagement, sacrifice et subissant la domination masculine.
L’antifascisme entend répondre à une menace, mais échoue à la définir vraiment. Un flou qui explique certains désaccords stratégiques. Gilles Vergnon et Nicolas Lebourg reviennent pour Politis sur ces notions idéologiques et ce qu’elles disent de nos égarements.
L’historienne Camille Lefebvre a fouillé sa propre histoire familiale en appliquant scrupuleusement les méthodes et les procédures de sa spécialité universitaire. Un travail rare qui nécessite de construire la bonne distance.
Le recours à la violence est revendiqué par certains mouvements. Quitte à être renvoyés dos à dos par les médias et certains politiques avec les groupuscules d’extrême droite qu’ils affrontent.
On dénombre 6 millions de demandeurs d’emploi toutes catégories confondues.
Brigades de solidarité, anticomplotisme, soutiens aux agriculteurs… Face au renouveau de l’extrême droite, le mouvement antifa tente de sortir de l’entre-soi, de générer de la convergence et d’essaimer son idéal autonome.
Alors que l’extrême droite atteint des scores historiques, l’antifascisme peine à mobiliser. Il y a pourtant urgence.
Cette séquence d’avant législatives remet en perspectives le vide idéologique qui caractérise décidément l’ère Macron. Vide idéologique ? Pas tout à fait cependant. Il s’agit de sauver un pouvoir fort et concentré au profit d’une politique libérale.
Premier volet de notre traditionnel journal du festival. Parmi les perles de ce début de festival, trois films très différents mais à hauteur de femmes, entre amour total, interdit, en construction.
Entre la Creuse et la Haute-Vienne, des jeunes expriment leur colère face au recul des services publics et appellent à être compris par la gauche, perçue comme éloignée de leur mode de vie.
Les frères cinéastes signent un film de très grande tenue.
Le géant pétrolier fait voter son « plan climat » lors de son Assemblée générale annuelle, mercredi 25 mai, bloquée par des activistes des Amis de la Terre, de Greenpeace, d’AnvCop21 et d’Alternatiba. Parmi les actionnaires eux-mêmes, des voix s’élèvent contre les politiques du groupe et en faveur d'une véritable ambitions climatiques.
L'antenne française d'Amnesty International, l’ACAT et la FIDH alertent le gouvernement sur le sort de l'avocat franco-palestinien Salah Hamouri, détenu administrativement par le pouvoir israélien.
Sur 556 candidat·es investi·es par le parti d'Emmanuel Macron, une centaine trainent des affaires ou prises de position gênantes.
Le futur, le passé, les corps et ce que l'on devient. Deux films, de grands noms d'auteurs.
Côté pile, Emmanuel Macron trappe d’un coup le camp Blanquer. Côté face : l’effet waouh du gouvernement a les attributs connus des coups électoralistes bon marché.
Madame Borne s’est toujours tenue parfaitement coite quand Monsieur Blanquer tenait ces propos d’extrême droite.
En deux films, du théâtre, des acteurs et des actrices, de la chanson, de la musique : bref, de l'art à foison !