« Sous les figues », d’Erige Sehiri (Cannes, Quinzaine des réalisateurs) ; « 99 Moons », de Jan Gassmann (Cannes, Acid)
En Tunisie et en Suisse, deux films où la vie sentimentale et sexuelle est aux antipodes et qui pourtant se rejoignent.
Madame Borne s’est toujours tenue parfaitement coite quand Monsieur Blanquer tenait ces propos d’extrême droite.
Deux œuvres aux registres très différents portent un regard sur de vils comportements humains. Exercice de comparaison.
En se dotant d’un programme de transformation, que défendront ses candidats communs, la coalition de gauche montre qu’elle n’est pas un simple cartel électoral et affiche clairement ses ambitions.
Avec la saison des assemblées générales, les dirigeants des grandes entreprises doivent rendre des comptes et présenter leur stratégie. L’édition 2022 permettra-t-elle des avancées significatives en matière d’environnement ?
En deux films, du théâtre, des acteurs et des actrices, de la chanson, de la musique : bref, de l'art à foison !
Créé par la loi Quilès, le régime juridique de la zone d’attente a 30 ans. Les candidats à l’asile qui s’y trouvent y voient souvent leurs droits bafoués.
Les Français de Belgique ont davantage voté pour le candidat de La France insoumise que les électeurs hexagonaux. Ils se mobilisent désormais pour la candidate investie par la Nupes.
Des centaines de réfugiés se retrouvent emprisonnés pour « aide illégale au passage de la frontière » à la suite de procédures bâclées. Pourtant, leur responsabilité n’est que rarement démontrée.
Frappée par les fermetures d’usine depuis les années 1990, la sous-préfecture de l’Aisne donne à voir les impasses de la politique industrielle de l’État, en même temps que les nouveaux enjeux pour la Nupes, en tension entre l’urgence de l’emploi et de la crise écologique.
Le terroriste de Buffalo se dit « inspiré » par les thèses conspirationnistes du « remplacement par l’immigration » et du « génocide blanc ».
Les images révoltantes du meurtre de la journaliste palestinienne Shireen Abu Akleh, à Jénine, puis de la charge obscène contre son cortège funéraire, à Jérusalem, cachent hélas une vérité qui échappe aux caméras : la colonisation.
Entre conférence et one woman show, Je suis une fille sans histoire, d’Alice Zeniter, débusque les luttes textuelles qui façonnent nos quotidiens.
Dans les gares, les ports et les aéroports, des milliers de personnes sont enfermés chaque année dans les zones d'attente. Politis a eu accès à ces lieux opaques, aux frontières de la légalité.
Dans une lettre ouverte, l’historien François Dosse, qui fut à l’origine de la relation entre le Président et Paul Ricœur, explique comment il s’est « leurré » sur son ancien étudiant.
Alive est la première réalisation de Mona Soyoc et du guitariste Olivier Mellano. Sombre et puissante.
En Tunisie et en Suisse, deux films où la vie sentimentale et sexuelle est aux antipodes et qui pourtant se rejoignent.
Une évocation autobiographique et politique, une odyssée animaliste, et un hommage à Jean-Louis Comolli, mort hier.
La soixante-quinzième édition du Festival de Cannes a réussi son entrée en matière.
C’est le seul programme à avoir été testé par la Banque de France et l’OFCE, générant une baisse relative de la dette publique.
L’avocate Hélène Gacon alerte sur les dangers des murs juridiques qui s’érigent aux frontières européennes et dénonce « un véritable déni du droit d’asile ».
Au cours d’un long travail au plus près des sans-papiers, l’anthropologue Stefan Le Courant donne à voir des quotidiens en situation de péril imminent.
Chaque jour à la frontière italienne, des dizaines de personnes sont embarquées vers des lieux de privation de liberté où le droit de regard est quasiment impossible.
À l'occasion de l'Assemblée générale de ce réassureur, un des plus gros au monde, Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, appelle son directeur général à ne plus assurer le secteur du pétrole et du gaz.
Dans Coupez ! Michel Hazanavicius met en scène le making-of loufoque d’un film de zombies. Une comédie réussie en ouverture de Cannes.
Si les principaux blocs parlementaires devraient se maintenir, les législatives du 15 mai risquent de bouleverser les rapports de force. Pas suffisamment, toutefois, pour sortir de la crise.