Il est tombé bien bas, c’est la faute à Internet

Christine Tréguier  • 24 septembre 2009 abonné·es

La bavure verbale de Brice Hortefeux continuant à faire jaser, en dépit ou à cause d’explications tout aussi filandreuses qu’irrecevables, certains des supporters du ministre de l’Intérieur ont, la semaine passée, tenté de faire diversion en pointant du doigt le vrai coupable : Internet et cette manie qu’ont les internautes de traquer et de mettre en ligne les déclarations et apparitions publiques de leurs élus.

« Les hommes politiques sont devenus des cibles, s’est lamenté Patrick Devedjian. La frontière entre la vie

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