Comment les partis politiques traitent les violences sexistes et sexuelles
À la suite de #MeToo et de divers mouvements de libération de la parole, la plupart des formations politiques françaises de gauche se sont dotées de cellules de gestion des violences sexistes et sexuelles. La droite renâcle encore.
dans l’hebdo N° 1751 Acheter ce numéro

Tous les partis de gauche sont dotés de cellules d’enquête internes sur les violences sexistes et sexuelles (VSS), ce qui n’est pas le cas de la droite, et encore moins de l’extrême droite. Les pionniers sont du côté des écolos : EELV se dote d’une cellule dès 2016, après l’affaire Baupin. Nommée « cellule d’enquête et de sanction sur le harcèlement et les violences sexuelles et sexistes d’EELV », elle enquête en cas de plainte ou de signalement interne, avant de prononcer des sanctions.
La France insoumise a un comité exclusivement féminin, le « comité de suivi contre les violences sexistes et sexuelles », qui transmet les signalements au « comité de respect des principes », habilité à prendre des décisions au nom du mouvement.
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