Voisin de Sarkozy

Impossible de ne pas voir la maison de famille des Bruni, d’où je me trouvais par le hasard d’une invitation.
Une semaine entière, les pieds au-dessus de la grande bleue, bercé par le bruit des vagues et des cigales, avec le Président d’alors dans la ligne de mire. Trop tentant!
Inutile de vous dire que le sentier des douaniers est à l’approche de cette bâtisse aussi infréquentable [^2] que le tout-à-l’égoût est inexistant sur cette portion du littoral.
Restait donc le téléobjectif. Qui me permis de figer, un 13 août, ce crépuscule dont je m’empressais de faire, à la rentrée (mes plus vieux lecteurs s’en souviennent), le logo de ce blog. Comme l’allégorie d’une année qui devait être (et fut) le crépuscule du sarkozysme.

[^2]: Des pandores discrets dissuadaient de toutes façons les risque-tout.