« Corniche Kennedy », de Dominique Cabrera : La grâce du vertige

Dans Corniche Kennedy, de Dominique Cabrera, une bande de jeunes plonge dans la mer du haut des rochers, sous l’œil des flics et des dealers. Adrénaline, endorphines et sueurs froides.

Ingrid Merckx  • 18 janvier 2017 abonné·es
« Corniche Kennedy », de Dominique Cabrera : La grâce du vertige
© jour2fete

Juin entre Marseille et Cassis. Il fait beau. Ils passent en short et en maillot de rocher en rocher, cherchant le meilleur endroit pour sauter. Adrénaline et farniente. La mer devant eux, hospitalière, nourricière, qui les accueille et les protège. Le danger est sur terre, entre les flics et les dealers qui les ont cueillis à la sortie du lycée. Plongeurs et petites frappes, grandes gueules vulgaires en groupe, beaucoup moins en tête à tête. Et puis il y a Suzanne,

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Cinéma
Temps de lecture : 2 minutes