La semaine d’Aurel : le chéquier de Macron et la promesse d’Hidalgo
Retrouvez chaque semaine le dessin d’Aurel paru dans Politis, accompagné du dessin finaliste non publié.
Aurel
• 15 septembre 2021
Article paru
dans l’hebdo N° 1671 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1671 Acheter ce numéro
L’actualité vous fait parfois enrager ? Nous aussi. Ce parti pris de la rédaction délaisse la neutralité journalistique pour le vitriol. Et parfois pour l’éloge et l’espoir. C’est juste plus rare.
Soutenez Politis, faites un don.
Chaque jour, Politis donne une voix à celles et ceux qui ne l’ont pas, pour favoriser des prises de conscience politiques et le débat d’idées, par ses enquêtes, reportages et analyses. Parce que chez Politis, on pense que l’émancipation de chacun·e et la vitalité de notre démocratie dépendent (aussi) d’une information libre et indépendante.
Faire Un DonPour aller plus loin…

Parti pris • 12 septembre 2025
Lecornu : la rupture… vers l’extrême droite
Avec la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, Emmanuel Macron parachève le glissement de son pouvoir vers une droite toujours plus dure, autoritaire et complaisante avec l’extrême droite. Ce n’est pas une rupture : c’est une continuité brutale.
Par Pierre Jacquemain

Analyse • 12 septembre 2025
Marine Le Pen, la démocratie confisquée
La cheffe de l’extrême droite profite de la crise politique actuelle pour se placer en bouclier des institutions. Pour que vive la démocratie, elle pose ses conditions : tout le pouvoir pour elle.
Par Pablo Pillaud-Vivien

Parti pris • 10 septembre 2025
Lecornu, le dernier des macronistes pour enterrer la Macronie
En appelant Olivier Faure avant de nommer Sébastien Lecornu à Matignon, Emmanuel Macron a offert à la gauche un court instant de vertige, suivi d’une claque. Lecornu, ministre des Armées, figure discrète mais loyale du macronisme, incarne moins un nouveau départ qu’une fin de cycle.
Par Pierre Jacquemain

Parti pris • 8 septembre 2025
Après Bayrou, cherche sortie de crise désespérément
Au terme d’un quinquennat qui a dissous les anciens équilibres sans en créer de nouveaux, Emmanuel Macron se retrouve face à l’impasse qu’il a lui-même provoquée. En refusant de reconnaître la légitimité démocratique de la gauche, le président a prolongé l’instabilité et ouvert un espace où la droite banalise l’extrême droite, tandis que les colères sociales grondent.
Par Pierre Jacquemain