La semaine d’Aurel : le chéquier de Macron et la promesse d’Hidalgo
Retrouvez chaque semaine le dessin d’Aurel paru dans Politis, accompagné du dessin finaliste non publié.
Aurel
• 15 septembre 2021
Article paru
dans l’hebdo N° 1671 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1671 Acheter ce numéro
L’actualité vous fait parfois enrager ? Nous aussi. Ce parti pris de la rédaction délaisse la neutralité journalistique pour le vitriol. Et parfois pour l’éloge et l’espoir. C’est juste plus rare.
Soutenez Politis, faites un don.
Chaque jour, Politis donne une voix à celles et ceux qui ne l’ont pas, pour favoriser des prises de conscience politiques et le débat d’idées, par ses enquêtes, reportages et analyses. Parce que chez Politis, on pense que l’émancipation de chacun·e et la vitalité de notre démocratie dépendent (aussi) d’une information libre et indépendante.
Faire Un DonPour aller plus loin…
Parti pris • 17 décembre 2025
La fin du mythe de la méritocratie
La méritocratie continue d’être brandie comme la preuve que tout serait possible pour qui « se donne les moyens ». Mais ce discours, qui ignore le poids écrasant des origines sociales, n’est rien d’autre qu’un instrument de culpabilisation. En prétendant récompenser le mérite, la société punit surtout ceux qui n’avaient aucune chance. Voici pourquoi le mythe s’écroule et pourquoi il faut enfin le dire.
Par Pierre Jacquemain
Parti pris • 13 décembre 2025
Le « sales connes » qui cache la forêt
L’insulte surmédiatisée de Brigitte Macron envers des militantes féministes doit nous indigner… Sans nous faire perdre de vue la stratégie d’inversion de la culpabilité mise en place par Ary Abittan.
Par Salomé Dionisi
Parti pris • 9 décembre 2025
Budget : le renoncement socialiste
Le Parti socialiste, qui avait retrouvé une cohérence en renouant avec la gauche au moment de la Nupes, semble aujourd’hui s’égarer à nouveau. En validant la trajectoire gouvernementale, il fragilise tout le camp progressiste.
Par Pierre Jacquemain
Parti pris • 2 décembre 2025
Bardella, l’œuf et la peur
En quelques jours, le président du RN a été aspergé de farine et a reçu un œuf. Pour certains commentateurs, nous serions entrés dans une ère de chaos où la démocratie vacille au rythme des projectiles de supermarché. Ce qui devrait plutôt les inquiéter est la violence d’une parole politique qui fragilise les minorités, les élus et l’État de droit.
Par Pierre Jacquemain
Best of
Les plus lus
1
À Mayotte, la police aux frontières expulse la mère d’un enfant en soins palliatifs
2
« J’estime être victime de harcèlement » : Sand, réprimée pour rappeler la loi à un député ex-RN
3
Elena Mistrello, autrice italienne de BD expulsée : « Ce contrôle des frontières concerne tout le monde, en premier lieu les migrants »
4
Jean-Luc Mélenchon : « Nous sommes les plus forts à gauche »

