A Paris, le PCF s'allie au PS [Officiel]
Les militants communistes parisiens ont suivi Pierre Laurent. Anne Hidalgo estime que dans la capitale «la gauche est rassemblée» . Le PG conduira une liste contre l'austérité.
Les militants communistes parisiens ont suivi Pierre Laurent. Anne Hidalgo estime que dans la capitale «la gauche est rassemblée» . Le PG conduira une liste contre l'austérité.
L’aile la plus à gauche du PS estime que seul le retour d’une gauche plurielle pourra influencer la politique de François Hollande. Un pari audacieux.
Marie-Noëlle Lienemann revient sur la stratégie du mouvement Maintenant la gauche.
Le vote des communistes parisiens électrise les rapports entre le PG et le PCF.
Jean-Luc Mélenchon est vent debout contre une alliance avec le PS à Paris.
À une semaine du vote du PCF sur les municipales à Paris, la tête de liste du Parti de gauche invite les militants communistes à faire un choix conforme à leur programme.
Le désaccord entre le Parti de gauche et la direction du PCF sur les municipales, exposé dans notre dossier cette semaine, n'est pas formellement irréductible, explique Roger Martelli. Il expose dans cette tribune comment le surmonter.
Les piques inhabituelles échangées entre Pierre Laurent et Jean-Luc Mélenchon
aux Estivales ont mis au jour des divergences de méthode derrière l’unité de façade.
Après la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot, des interrogations et doutes légitimes se font entendre au sein du Front de gauche, suscitant un débat sur les réseaux sociaux. La tribune que nous publions en est un reflet.
Unis pour demander un changement de cap politique du gouvernement, sympathisants du Front de gauche, d’EELV ou du NPA ont marché ensemble dimanche. Malgré quelques divergences.
La marche de dimanche aura des conséquences en cascade si le gouvernement persiste à en minimiser l’importance. Analyse.
Le politologue avait appelé à manifester dimanche à Paris avec le Front de gauche. Une mobilisation contre la politique du « parti solférinien », mais aussi, selon lui, une première « historique ».
La manifestation du 5 mai a rassemblé des opposants à la politique du gouvernement qui n’adhérant pas tous pleinement aux mots d’ordre de Jean-Luc Mélenchon.
L’affaire Cahuzac mobilise le Front de gauche, qui appelle à une « grande marche citoyenne pour la VIe République » le 5 mai.
Les propos du coprésident du Parti de gauche sur Pierre Moscovici et la finance internationale ont agité le milieu médiatique. Pour Benoît Schneckenburger, Mélenchon veut seulement briser le vocabulaire du consensus, porteur de violence. Louis–Jean Calvet dénonce quant à lui des imprécations « adolescentes ».
L’AFP fait son mea culpa , en corrigeant les propos qu’elle prêtait dimanche à Jean-Luc Mélenchon, après la diffusion d’un enregistrement par Politis.fr. Harlem Désir persiste et signe.