Uber files : Le nouveau scandale de la Macronie
Une fuite de documents envoyés au quotidien britannique The Guardian a mis Le Monde sur la piste d'un « deal secret » entre l'ex-ministre de l'Économie et la société américaine de VTC.
Une fuite de documents envoyés au quotidien britannique The Guardian a mis Le Monde sur la piste d'un « deal secret » entre l'ex-ministre de l'Économie et la société américaine de VTC.
La situation économique partout se dégrade et les conflits sociaux se multiplient.
La baisse du salaire réel va provoquer une nouvelle baisse de la part des salaires dans la valeur ajoutée.
Partir de la satisfaction des besoins, et non plus de l’offre des entreprises.
Les services publics ont besoin de quelques dizaines de milliards d’euros par an : ils n’en bénéficieront pas.
Alors que banques et assureurs français prétendent mettre en place des politiques plus ou moins ambitieuses, les engagements peinent à se traduire en actions concrètes.
Les rapports d’expertise s’amoncellent : management par la terreur, humiliations, objectifs inatteignables… Après un suicide et une tentative, les salariés de la banque sont à bout.
L’entourage de Macron pilonne le programme économique de la Nupes, « irréaliste » et « dangereux ».
La retraite à 60 ans coûterait 5 % du PIB, soit la part de valeur ajoutée que le capital a volée au travail.
Conditions de travail difficiles, droit du travail pris à la légère, difficultés de logement et réforme du chômage pénalisante : les restaurateurs peinent à recruter alors que l’été approche.
Les grandes entreprises ont besoin de l’onction scientifique de l’école de Toulouse.
On dénombre 6 millions de demandeurs d’emploi toutes catégories confondues.
C’est le seul programme à avoir été testé par la Banque de France et l’OFCE, générant une baisse relative de la dette publique.
Il devient urgent d’augmenter les salaires et de rétablir leur indexation sur les prix.
La sortie du système productiviste et extractiviste ne sera pas un objectif de Macron.
On pourrait ouvrir dans le temps de travail rémunéré des espaces de délibération.
Depuis 2020, une génération de 90 000 étudiants, surnommée la « promotion covid », a vu sa formation sacrifiée. En stage, ils ont côtoyé la détresse des soignants et souvent subi la maltraitance.