La Macronie prise au piège de sa brutalité
Le Président récolte les fruits de deux années de « thérapie de choc » sur les dossiers sociaux. Un échec qui compromet un agenda encore chargé.
Le Président récolte les fruits de deux années de « thérapie de choc » sur les dossiers sociaux. Un échec qui compromet un agenda encore chargé.
Aurel
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Retrouvez chaque semaine le dessin d'Aurel paru dans Politis, accompagné du dessin finaliste non publié.
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Dans le monde actuel, et à la différence de 1914, ce sont les « aimables libéraux », et les progressistes, qui préparent le populisme. Voilà bien là l’angle mort de toute pensée libérale.
Même si la droite arrive en tête des élections européennes, son chef de file n’est pas assuré de présider la Commission européenne. L’automaticité qui avait cours en 2014 est contestée.
Tribunes
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TRIBUNE. Pour Benjamin Lucas, Sandra Laugier, Roxane Lundy et Delphine Damis-Fricourt, diriger un pays oblige à ne pas tout confondre, à ne pas s’approprier les moyens de communication publics et officiels.
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Le 18 septembre, le Président a présenté les grandes lignes du plan santé. Bonne orientation, bonne communication, reste à voir la mise en place.
Emmanuel Macron a listé ce jeudi les mesures de son « plan pauvreté ». Elles doivent améliorer le système actuel, par petites touches, mais s’avèrent cosmétiques au regard des conséquences de sa propre politique économique.
Avec la nomination de François de Rugy, le Président met au moins fin aux ambiguïtés de son discours écologiste, et aux illusions qu’elles ont parfois créées.
Tribunes
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TRIBUNE. Pour Vincent Brengarth, avocat au barreau de Paris, l’exercice extrêmement présidentialiste du Président actuel a indéniablement participé à réhabiliter l'ancien, puisqu’il ajoute un cran à la droitisation et en emprunte la rhétorique.
Le ministre démissionnaire aura mis seize mois à comprendre que, dans ce gouvernement, il était seul à défendre l’urgence à « changer de paradigme ». Et que le rapport de force jouait contre lui.
TRIBUNE. L’affaire Benalla met à nu la survivance de réflexes monarchiques. On découvre des codes de comportement où le lien de confiance de « la noblesse d’État » tient lieu d’instrument de la « violence symbolique » du pouvoir. La communication « jupitérienne » d’Emmanuel Macron, érigée en mode de gouvernance, apparaît comme un sujet de questionnement pertinent.
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Pour le psychanalyste, l’affaire Benalla est symptomatique de profonds changements dans la structure de l’État, imposés par le Président et son éloge à la « nation start-up ».