There will be blood : Trop bien huilé
« There will be blood » relate l’histoire d’un pionnier de la découverte du pétrole à la fin du XIXe siècle. Une interprétation éblouissante pour un film un peu vain.
« There will be blood » relate l’histoire d’un pionnier de la découverte du pétrole à la fin du XIXe siècle. Une interprétation éblouissante pour un film un peu vain.
Inspiré d’un fait réel, « Redacted », de Brian de Palma, relate le viol et le massacre
d’une jeune Irakienne par des soldats américains. Mais, au-delà de la condamnation
des crimes de guerre, son véritable objectif est d’interroger le cinéma.
Le jour des César, le milieu du cinéma appelle à une mobilisation contre les coupes budgétaires.
De gauche comme de droite, un maire qui n’a pas de goût pour la culture développe une politique faible en la matière.
Dans « Capitaine Achab », Philippe Ramos imagine une partie de la vie du personnage de « Moby Dick ». Mêlant la légèreté du conte et une liberté poétique peu courante.
Avec « les Années », Annie Ernaux livre « une sorte d’autobiographie impersonnelle », embrassant six décennies d’évolution de la société.
Avec une puissance d’analyse critique impressionnante.
Dans « la Fabrique des sentiments », Jean-Marc Moutout met en scène les désarrois amoureux dans nos sociétés modernes et déstructurantes. Un film politique, à sa manière.
« Elle s’appelle Sabine », documentaire de Sandrine Bonnaire sur sa sœur autiste, interpelle la société
et interroge chacun de nous.
Médias
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Ce numéro anniversaire de « Politis » est moins rétrospectif qu’ancré dans le présent. S’il revisite sa mémoire, c’est pour mieux affirmer le rôle qu’il doit jouer de relais des alternatives contemporaines. Un vaste cahier spécial à consulter dans notre rubrique Médias .
Dans « Parc Sauvage » comme dans « Impératif catégorique », Jacques Roubaud joue – mais de manière très différente – sur les frontières du réel autobiographique et de la fiction.