En réponse à un acte de vandalisme sur une œuvre de Cy Twombly, la Collection Lambert en Avignon propose une exposition, « J’embrasse pas », brillante et pédagogique réflexion sur l’art contemporain et sur la responsabilité du spectateur.

Avec « On n’est pas là pour disparaître », Olivia Rosenthal signe un grand livre de littérature sur la maladie d’Alzheimer. Loin des clichés, une approche de la maladie qui conduit à l’introspection et au vertige .

Dans « la Walkyrie et le professeur », Michel Arrivé joue avec les fausses évidences.

Dans « la Forêt de Mogari », Naomi Kawase met en scène deux personnages trouvant la voie de la sérénité au terme d’un deuil.
Un film d’une humanité première, plastiquement sublime.

Guiseppe Tommasi reprend sa vie en main devant la caméra de Mehdi Sahebi, qui a filmé ses derniers mois d’existence dans « le Temps des adieux ».

Dans « le Brahmane du Komintern », Vladimir Léon exhume la figure de M. N. Roy (1887-1954), marxiste, internationaliste et utopiste,
en suivant ses traces de Mexico à Moscou, et de Berlin à New Dehli.

« Moi, Pierre Rivière… », de René Allio, ressort sur les écrans. Un film d’une force singulière.

L’acteur et réalisateur Jacques Nolot signe avec « Avant que j’oublie »
un beau film d’une lucidité douloureuse et ironique sur un homosexuel vieillissant. Une mise à nu émotionnelle.

Dans « L’amour avant que j’oublie », Lyonel Trouillot
croise les portraits de trois forts caractères avec une évocation de la société haïtienne et de ses évolutions.

« Le Rideau de sucre », de Camila Guzman Urzua, propose une vision personnelle et subtile de Cuba.